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Eveil (première partie)

cobbyx Blog Last Activity 8 years ago 1.4K views 17 comments
Il était une fois...


PRIMAIRE

Je ressentis mon premier "orgasme" dans une maison de vacances, dans le sud de la France, en jouant secrètement avec le pommeau de douche dans une bain chaud et trouble. Terrassant, terrifiant (plaisir).

Premiers jeux de mains avec Philippe, un de mes meilleurs amis de l'époque, et certainement parmi les plus beaux garçons de ma classe: fin, timide, souriant, les cheveux mi-longs, de beaux yeux clairs. Entre deux parties de console, nous primes l'habitude de nous abriter dénudés dans le revers de ma couette. Nous nous tenions ainsi face-à-face pendant de longs moments, excités à nous regarder ou à nous caresser mutuellement, souvent pris de fous rires idiots. Lorsqu'un de mes parents entrait dans la chambre et nous surprenait sous les couvertures, nous prétendions jouer au camping dans une "tente imaginaire" que ne dissimulait pourtant que nos deux petites queues excitées par la découverte du contrôle de l'autre et de la passivité. Il avait un sexe déjà bien long pour son âge (jalousie). C'en était fini pour Philippe, je ne sais ce que ce garçon est devenu.

Premiers jeux de bouches avec Frédéric. Des baisers, avec ou sans la langue, et une belle expérience de fellations réciproques un après-midi, isolés dans sa chambre. Nous n'avions toujours pas de vraies éjaculations et pratiquâmes ainsi ce jeu toute une journée, alternant nos rôles de suceur et de sucé. Première fois à genoux, soumis et dévoué. Première fois en chien aussi, à prendre mon plaisir par les cheveux. Notre première envie fut de garder nos sexes calottés pour ne pas trop sucer le liquide qui commençait à s'en écouler. Première fois que je réalisais que ma queue était longue (fierté). Nous achevâmes cette journée dans la chambre de sa sœur qui nous laissa la caresser, lui coller quelques doigts contre ou dans sa chatte serrée mais humide. Premier contact avec le sexe d'une fille. Je pris grand plaisir à y apposer mes lèvres et ma langue pendant un moment, ce que Frédéric ne fit pas, comme par un sens instinctif des limites du monde adulte. Elle ne nous toucha pas en retour mais sembla apprécier cette expérience et son premier cunnilingus (perversion). Je ne reverrais Frédéric que des années plus tard, sans jamais reparler de cette histoire.

A ce moment, je me rapprochais surtout de François, qui resterait mon meilleur ami jusqu'à nos vingt ans. J'en tomberais un jour éperdument amoureux, de son corps magnifique, de son visage d'ange. Quelques autres potes de notre bande participeraient à nos premiers délires sexuels : Julien, Eric. Tous "définitivement" hétérosexuels (en devenir). Ce fut l'époque des échanges de Penthouse ou des premiers films pornographiques de Canal+, des premières expériences de vestiaire. A la piscine ou au bord de la mer, François et moi partagions souvent les cabines et je découvrais régulièrement son sexe impressionnant, ballotant, entre deux enfilages de maillots. Quelques rapprochements vécus à sens unique sous les douches, quelques frottements et des érections embarrassantes lorsque je frôlais son corps humide et shampouiné (fantasme).

Premier échec amoureux avec Agnès qui préféra Cyril mais voulut rester une amie (rejet).

Premier histoire hétérosexuelle avec Amélie, pourtant garçon manqué dont je tombai en amour et en amitié. Des caresses à-travers ou par-dessous les vêtements, en cachette après l'école. Le relief de ses seins en devenir. Beaucoup de tendresse et d'affection entre nous, de beaux moments de partage. Premier succès, premier baiser amoureux (grâce). Qu'est-elle devenue ?

Pendant les derniers mois du primaire, Aurélie prit pour habitude de me branler pendant les cours de l'après-midi après avoir découvert avec envie la taille de ma queue qu'elle devait juger excitante. Cette fille, qui avait déjà un peu circulé avant de me parvenir, n'était pas vraiment attirante, plutôt grosse et antipathique. Mais ses qualités de branleuse-suceuse me poussèrent à la choisir comme voisine de table attitrée pendant de longues et agréables semaines d'intense pédagogie. Premières vraies éjaculations servies, arrosant ses mains ou sa trousse pendant les cours, sa bouche pendant les récréations (salir).

Un midi, après la cantine, elle décida même de masturber toute notre bande de potes dans les toilettes. François, par timidité, se contenta d'observer la scène, Eric et moi nous laissâmes faire jusqu'à cracher entre ses mains expertes. Julien éjacula au bout de trois coups de poignet. Puis nous la doigtâmes collectivement pendant plusieurs minutes, à deux par devant, à un ou deux dans les fesses, elle parut en vouloir toujours davantage (domination). Mais c'en serait fini pour cette déjà-catine. Et François demeurait puceau au premier degré.


SECONDAIRE

Arrivé en sixième, les amitiés évoluèrent légèrement, les anniversaires se transformèrent en "boums", les parents commencèrent à nous autoriser à dormir chez nos meilleurs amis. Premier souvenir d'excitation collective devant "Club privé aux Seychelles", chacun dans notre coin, nous caressant discrètement, commentant avec l'arrogance des puceaux les performances sexuelles que nous fantasmions sur l'écran. Guillaume, notre hôte du weekend, plus expérimenté, nous fit entrevoir l'épaisseur de sa bite encore mollassonne avant de la ranger illico sous une couverture : nous n'étions pas pédés quand même ! (mensonge).

Premières séances de visionnages de films pornographiques avec François (mon meilleur pote, toujours). Nous dormions souvent l'un chez l'autre. Encore aucune masturbation à proprement parler ; nous nous caressions simplement à travers nos habits ; je matais déjà les courbes impressionnantes de son entre-jambe et les spasmes de ses érections contre d'amples survêtements ou, mieux, directement contre ses caleçons. Plongé dans ces images de luxure, il parlait de filles du collège (qu'il s’apprêtait à tomber les unes après les autres), tandis que, positionné un peu en retrait de son matelas, je l'observais fantasmer et se caresser au rythme des images (désir).

Une masturbation collective eut lieu un après-midi chez François, avec Eric, Julien et Alexandre. Cette fois, autre bande d'amis, autres mœurs, nous nous fîmes jouir sans retenue, à la vue de chacun. Alexandre, dans un fauteuil plus isolé, et nous quatre, caleçons baissés, assis côte-à-côte dans le canapé familial, visionnions un de nos classiques cinématographiques. Je vis ce jour le sexe de mon meilleur ami en érection pour la première fois, encore en pleine puberté mais déjà extrêmement bien monté. Il fit impression ce jour, et ce pour toute notre adolescence. Il était à moi tout seul, à ma droite, compressé entre l'accoudoir et mon corps dénudé. Je n'osais le regarder ni en profiter comme il l'aurait mérité, en présence des autres mecs. Je ne profitais que des vibrations de sa masturbation, exagérant les miennes contre son aine. J'étais un peu le deuxième chanceux à exhiber fièrement mes attributs physiques. Eric, moins gâté, parut néanmoins fort à l'aise et décontracté à s'exhiber ainsi sur ma gauche tandis qu'Alexandre, qui avait encore ses formes d'enfant, fut plus mal à l'aise. Julien, de deux têtes de plus que nous, était doté d'une bite ridiculement petite, et François et moi pouvions clairement lire dans son regard et dans ses mots une profonde jalousie qui allait prospérer avec le temps. Je perdis le concours d'endurance, que François remporta (égo). Mais il refusa de m'éjaculer dessus comme prévu lors de l'énoncé des règles. Je feignis simplement de mal vivre l'alternative proposée : nettoyer son abdomen d'une belle quantité de sperme encore tiède au moyen d'un ou deux mouchoirs en papier (dissimulation). C'en serait alors fini de mes rapports intimes avec Eric et Julien. Eric serait le premier de ce groupe d'amis à perdre son pucelage quelques semaines plus tard.

De chaudes vacances dans les Landes l'été suivant. Aymeric est le fils d'amis de mes parents. Il est de trois ans mon aîné et me raconta une nuit les détails croustillants de son couple et de sa vie sexuelle déjà expérimentée. Je l'écoutais parler de son dépucelage précoce, de la manière dont se passe la pénétration, de sa queue qu'il trouvait trop longue et qu'il devait manier avec précaution pour ne pas heurter sa partenaire. Intrigué par son discours, je lui demandai alors timidement de me la montrer pour pouvoir juger sur pièce, ce qu'il fit sans vraiment hésiter. Il sortit de son caleçon un sexe immense, totalement reposé, qu'il étendit comme un trophée le long de sa cuisse. Sa queue parfaite et son corps de jeune homme musclé et sportif me mirent dans un état d'excitation particulièrement intense, alors que nous commençâmes à nous caresser individuellement en parlant de seins rebondis et de chattes humides. Je n'osais exposer ma ridicule bite à son regard ; quant à lui, il avait rangé la sienne sous la couverture, refusant de me montrer une érection : j'en avais "assez vu". La réalisation de mon homosexualité se joua certainement à cet instant précis. J'insistai de longues minutes pour qu'il me laissât la toucher ; il finit par céder, dans le secret total de ce grenier aménagé. Je le branlais depuis plus d'une demie-heure quand il atteignit enfin son l'orgasme. Mes mains balayèrent encore en cadence son sexe épais mais immensément long pendant de longues minutes. Jamais je n'avais vu une éjaculation aussi puissante. Les draps étaient couverts de son sperme et de mes jouissances incontrôlées, ma tête collée contre sa jambe, à quelques centimètres de son sexe en décroissance, mes doigts nageant dans un océan de vice (chance). Le lendemain, nous initiâmes plus ou moins son frère à la masturbation collective, dans une atmosphère plutôt légère et décontractée. Jeu de la biscotte que je perdis à nouveau, contre Aymeric. Seul son frère et moi montrions nos sexes ; Aymeric avait repris ses distances, en présence de son frère bien sur, mais aussi pour me faire comprendre que ce qui s'était passé n'arriverait plus jamais. Et c'en serait fini de mes rapports intimes avec Aymeric (et le frangin). Il est aujourd'hui père de famille.

Cinquième : année charnière. Après un anniversaire à la rentrée, Virginie et moi restâmes dormir chez notre ami Guillaume. Ces deux là étaient sortis ensemble l'année précédente, avaient déjà couché maintes fois ensemble, et, rapprochés par leur maturité et leur expérience commune de redoublement, étaient restés en d'excellents termes. Ce soir là, ils avaient simplement décidé de me dépuceler. Premiers pétards, nuit d'ivresse, je pénétrai deux fois Virginie, profondément ; Guillaume la pratiqua deux ou trois fois de son côté. La demoiselle passa une bonne nuit. Des courbes superbes et un regard myope et envoutant. Je ressentais la perfection et l'abandon pour la première fois de ma vie, l'oreille collée contre son cœur, à nous écouter reprendre notre souffle. Merci. Virginie et moi eurent quelques autres rapports sans grande originalité, le plus souvent chez elle, dans l'intimité cette fois-ci. J'abordais mon hétérosexualité avec une facilité plutôt déconcertante, avec elle, puis avec une certaine Céline en fin d'année. Cela n'allait pas durer (étape).

Quelques temps plus tard, mon lot de partenaires sexuels allait se réduire drastiquement : j'étais officiellement hétérosexuel, ayant fait preuve de ma virilité de manière assez précoce et efficace (compétition). Certains de mes amis (garçons) commençaient à faire de même et le temps du touche-touche s'éloigna peu à peu au profit des complexes existentiels et sexuels de l'adolescence. Mon désir et mon attirance pour le corps masculin devinrent de plus en plus dissimulés ; mes fantasmes homosexuels se focalisèrent sur mon meilleur ami, particulièrement beau garçon, intelligent et terriblement excitant. Hétérosexuel, toujours puceau, jamais branlé, jamais sucé. Il avait un grand succès auprès des filles mais hésiterait à franchir le cap sexuel pour de longues années encore (jusqu'à ses dix-neuf ans, même). Par timidité ? Etrange pour ce beau mec, sportif, dynamique. Par homosexualité refoulée ? Je le pensais malheureusement... Pourtant, il avait de gros besoins sexuels et j'en fus le premier ravi. Mais, en attendant de découvrir son corps et ses fantasmes, c'est avec un autre ami, Benjamin de deux ans mon aîné, partenaire de sport, de console et de geek attitude, que je trouvais réconfort. Je ne vis qu'une seule fois son sexe le jour où il m'en annonça la mesure, règle à la main : vingt-deux centimètres j'étais jaloux et envieux de m'en emparer, de le manipuler. Mais il le recouvrit aussitôt, je ne pus jamais profiter que de la projection de son membre contre la couverture, droite comme un volcan prêt à exploser (consolation), et des gémissements de plaisir permanents qu'il n'avait surement même pas l'impression d'émettre. Ma première faiblesse : soulever délicatement la couverture une nuit au niveau de son entrejambe, observer longuement son slip blanc rempli à craquer, approcher une main tremblante, frôler, sentir, la fermeté, l'épaisseur... Le réveiller en sursaut aussi ! Mon étalon se rendormit aussitôt sans même comprendre ce qui s'était passé. Ce fut ma seule et unique tentative le concernant : trop risqué, pas assez excitant.


A SUIVRE...

Comments

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8 years ago

Very nice!

xavier025
8 years ago

Merci Cobby pour tes confidences c est tres exitant et je pense que nous avons tous vécus à peu près la meme chose. thanks Cobby for your confidence its very exiting i think most of us have the the past when we where young

xavier025
8 years ago

resq155 please accept sometime we could also read in french. Many french also don t speak english. about 300 million people speak french in the world , it could be good for GTB to have new peoples. Of cource GTB is an english speaking site and will stay like that in the futur and thats good. But please when sometime we have a text in french please accept it....

RobbietheRobot
8 years ago

Tres bien...

hairbear
8 years ago

███ Mais oui...!!...(comme-ci....comme-ca...).......Woo-Hoo...!!......DAVE™.........█████

luckystrike25
8 years ago

la suite ! la suite ! :)

cobbyx
12 years ago

I'm sure there is.
Try "Histoires érotiques" in Google.

cobbyx
12 years ago

you're welcome :)

12 years ago

Got translation on GoogleChrome.Great story - Thanks

12 years ago

the story looks like it may b interesting but like many i don't read or speak french...any one out there can translate please!

12 years ago

Thanks but most members use English cause we don't understand French.